Blog-note

dimanche 20 janvier 2013

Aaron Swartz. Le copyfraud, la rétention de données... On peut en mourir, la preuve !

       Aaron Swartz, conduit au suicide à 26 
    pour avoir refusé de faire un simple "clic -lien-"
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Carmen Ortiz, la zélée procureure qui le poursuivait



J'avais fait deux articles sur le sujet (liens)

... et voilà qu'aujourd'hui, un article de Dazibaoueb http://www.dazibaoueb.com/article.php?art=32212 relate la mort par "suicide" d'Aaron Swartz qui précisément se battait sans faiblir avec un cran qui force l'admiration pour l'accès libre aux données et qui était harcelé de procédures comme les américains savent si bien faire par les avocats pointus type deskaneux de ceux qui ont intérêt à les conserver payantes ou secrètes (pour d'autres raisons). Un immense salut à Aaron, et la certitude que d'autres hackers reprendront son œuvre.

"La mort d'Aaron n'est pas seulement une tragédie personnelle, c'est le résultat d'un système judiciaire où l'intimidation, le harcèlement des poursuites sont pléthores. Ce sont les décisions du bureau du procureur au Massachusetts et le MIT qui l'ont conduit à la mort. Le procureur des États-Unis l'a poursuivi pour un nombre de chefs d'accusation particulièrement iniques pour plus de 30 ans de prison, afin de le punir d'un "crime" qui n'a pas fait de victime [au contraire] tandis que contrairement au JSTOR, le MIT a refusé de le défendre et ce faisant de défendre ses principes mêmes."

In english here (link)
 

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